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Les principales causes de stérilité féminine

De nombreux médecins ne prononcent le mot de stérilité qu’après deux ans de rapports sexuels sans fécondation. En réalité, si aucune grossesse ne survient pas après une période de six mois, on peut déjà parler d’hypo fécondité. En matière d’investigation, le principe est d’aller du plus simple au plus compliqué.
Courbe de température, test post coïtal, examen du sperme, radiographie de l’utérus, dosage hormonal…

Ces investigations permettent de détecter la cause de stérilité féminine. On en connaît au moins 8 causes qui peuvent empêcher la survenue d’une grossesse.

L’absence d’ovulation :
Elle constitue une cause relativement fréquente de stérilité féminine ; elle entraîne des règles irrégulières, trop espacés (spanioménorrhée) ou absentes (aménorrhée).
La courbe de température est plate, sans décalage ni plateau thermique.
Les dosages hormonaux confirment l’insuffisante de sécrétion ovarienne : non seulement le taux d’œstrogènes est faible, mais la progestérone est totalement absente. Ces dosages permettent aussi de connaître la cause de cette anovulation :

Avant tout traitement, on vérifie s’il n’existe pas de tumeur de l’hypophyse en pratiquant un dosage de prolactine, et, éventuellement une IRM peut aussi être faite.
En cas d’accroissement du taux de prolactine, un médicament comme le Parlodel ou Dostinex est prescrit pour baisser la prolactine responsable du blocage des ovaires.

L’ovulation tardive
L’ovulation tardive, survenant au-delà du quinzième jour du cycle, peut être cause de stérilité ou, tout au moins, d’hypofertilité. Ici encore, les inducteurs de l’ovulation (médicament) sont à même de déclencher une ovulation plus régulière. Les doses à utiliser, moins fortes, ne nécessite pas une surveillance médicale.

Les autres troubles de l’ovulation
Divers troubles de l’ovulation peuvent résulter d’affectation générales (diabète, obésité, insuffisance rénale …) ou d’une anomalie des glandes surrénales. Dans ce dernier cas, un traitement utilisant des dérivés de la cortisone suffira pour guérir la stérilité.

Les maladies infectieuses des trompes
L’infection des trompes constitue une cause fréquente de stérilité. Trompes rigide, déformées, dilatées sont les conséquences d’une infection des trompes. En général, une cœlioscopie est pratiquée par le gynéco pour poser un diagnostic.

Les infections du col utérin
Il faut une glaire cervicale de bonne qualité pour que les spermatozoïdes puissent effectuer leur ascension dans les voies génitales féminines. Dans le cas d’une infection de la glaire, elle-même liée à une infection du col, un traitement antibiotique permet de rendre la glaire plus perméable aux spermes.

L’endométriose
Il se caractérise par la présence de fragment d’endomètre hors de la cavité utérine. Cette muqueuse qui entoure la cavité utérine, se gorge de sang et éliminer lors des règles. Ces fragments d’endomètre peuvent à l’origine des nodules, voire des kystes, qui peuvent être responsables de stérilité en obstruant les trompes.

Les affections de l’utérus
L’hystérographie permet de dépister un certain nombre d’affectations responsables de stérilité
Les polypes, les malformations utérines et les fibromes sont parmi les affectations les plus détectés. Elle impose le plus souvent une intervention chirurgicale.

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