Les escort girls se spécialisent sur Internet

La loi sur le racolage a obligé les travailleuses du sexe à investir en masse le net. Ainsi, on trouve de tout sur la toile : Des escorts indépendants, des agences de call girls, des proxénètes etc. Le web est devenu donc le nouveau trottoir où tous les coups sont permis pour attraper le maximum de client qui est prêt à débourser 200 euros pour une partie de jambes à l’air.

Ce nouveau phénomène apparu dans les années 2000 prend de plus en plus d’ampleur à tel point que le gouvernement et l’OCRTEH (Office central pour la répression de la traître des êtres humains) sont obligés de recruter de nouveaux effectifs pour canaliser cet afflux de sexe.

Pour être visible sur le net, la nouvelle génération d’escort girl maîtrise parfaitement les outils informatiques et plus particulièrement la mise en ligne de leur service et le référencement qui va avec.
Avec 15 000 euros de chiffre d’affaire mensuel, on comprend rapidement pourquoi les nouvelles travailleuses du sexe n’hésitent plus à apprendre les nouvelles techniques d’information et de communication.
D’ailleurs, les web-agency ont bien compris le filon, il propose maintenant des sites Internet clé en main pour la modique somme de 1 200 euros.

Une fois le site mise en ligne, les escorts travaillent généralement le référencement toute seul pour être visible rapidement sur Google.
Elle travaille aussi le contenu de leur site Internet en mettant des photos sexes et des vidéos de leur savoir-faire.

Le but de l’opération est évidemment d’apparaître rapidement dans les premiers résultats du moteur de recherche.
Si le site est invisible, l’escort girl a du mal à travailler.

Mais pour diversifier ses activités, l’escort-girl s’inscrit aussi sur le site de rencontre classique, les sites de petites annonces et les forums. Il faut qu’elle soit présente partout.

Depuis peu, les filles de l’Est commencent aussi à utiliser le net comme moyen d’attirer les clients.
La plupart d’entre eux font partie d’un réseau. Elles travaillent donc en groupe et écume les pays de l’ouest à la recherche des célibataires en mal de sexe.
Leur méthode est assez simple : Cachés en Ukraine ou en Biolorussie, ces proxénètes organisent des « sex tours » à travers l’Europe.
Le réseau est très bien organisé et les rendez-vous se font généralement dans des hôtels via des réservations sur le net.