Comment devenir inspecteur des impôts ?

L'inspecteur touche un salaire de 1300 net :
Qui dit inspecteur des impôt, dit contrôle fiscale. Mais la palette des missions de l’inspecteur est bien plus variée qu’on ne l’imagine. Certains sont chargés de l’établissement et de la conservation des plans cadastraux, d’autres se spécialise dans la fiscalité professionnelle au sein de service tel que les impôts dans l’entreprise, la brigade de vérification…

L’inspecteur des impôts peut donc exercer différentes fonctions qui nécessitent toutes un niveau élevé de compétence en matière juridique, fiscale et comptable de même que des aptitudes évidentes en matière d’utilisation des outils bureautiques et informatiques.

En fonction de sa formation d’origine, l’inspecteur des impôts peut donc se voir confier un service particulier pas forcément au contact des citoyens pour des contrôles de vérification, notamment dans un centre des impôts : assisté d’une équipe de collaborateurs, il a en charge la gestion et le suivi des dossiers des entreprises industrielles et commerciales et des professions libérales.

Le rôle de ces inspections, au contact direct des entreprises et de leurs conseils est fondamental pour la gestion de l’impôt et la surveillance du système déclaratif.

Quels sont les diplômes nécessaires :
Licence en droit
Diplôme d’expert comptable
Diplôme de troisième cycle
Diplôme d’un institut d’études politiques
Diplôme d’ingénieur

Ses qualités : Il aime la lecture des pièces comptables
Sa formation : Ouvert théoriquement au niveau de la licence, le concours est tenté par des candidats souvent surdiplômés (IEP, troisième cycle…). La formation se déroule, selon la spécialité, pendant une année à l’école nationale des impôts, implantée à Noisy-le-Grand et Clermont-Ferrand, ou pendant quinze mois à l’école nationale du cadastre de Toulouse

Comment se passe le concours :
Les épreuves sont divisées en deux parties
Une épreuve d’admissibilité où l’on teste vos connaissances en matière de dissertation et de synthèse, vos connaissances en matière de droit administratif, comptabilité, de statistique et de droit privé.
Ensuite, vient l’épreuve d’admission en école qui comprend des épreuves orales sur un sujet précis, une épreuve de langue étrangère et d’entretien avec le jury pour tester votre aisance et votre réactivité.